sur la rue, dorment les hommes cartons... |
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C’est un monologue jeté sur l’écran de mon ordinateur portable durant quelques voyages. |
Je m’installais en autiste dans le wagon-restaurant avec dans les oreilles la musique de Bob Dylan "Desolation row". |
Cela parle du vertige et de la chute d’un homme, de son attirance pour une femme qu’il ne connait pas. |
Cela parle de l’incompréhension et de l’impuissance face à un monde verrouillé. L’important n’étant pas d’accéder à l’espace confortable et civilisé parce que l’important c’est peut-être le refuser, voire même le vomir. |
Dénicher la différence entre la satisfaction (possession des conforts), et le bonheur (implication dans le réel). |